- J’ai reçu ma première commande – et maintenant ?
- Lignes directrices pour une utilisation sûre des huiles essentielles
- Recettes de roll-on avec les 10 huiles de base
- Recettes pour le diffuseur d’arômes
- Recettes de sprays avec tes 10 huiles de base
- Recettes de bonnet végétal avec tes 10 huiles de base
Blog

Hormones en chute libre ? 5 moyens naturels pour plus d’équilibre
» 08h00 : le réveil sonne. Tu te sens ballonnée, fatiguée et de mauvaise humeur. Ton fils fait une blague et tu manques de lui arracher la tête. Le café n’est plus là. Tu enfiles un pantalon qui t’allait hier mais qui maintenant pince soudainement. C’est encore mes hormones ? » penses-tu en soupirant, alors que tu sors une barre de chocolat pour la troisième fois cette semaine. Avant 9 heures ».
Reconnaissable ? Tu n’es pas seul. Des millions de femmes luttent quotidiennement contre les fluctuations hormonales qui affectent leur humeur, leur énergie, leur poids et leur bien-être général. Mais voici la bonne nouvelle : tu n’es pas impuissante.
Les cousins de contrôle invisibles de ton corps
Les hormones sont en fait des sortes de micro-managers qui travaillent 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 dans ton corps. Elles ont un avis sur tout : de ton métabolisme et de ton niveau d’énergie à ton humeur et à la qualité de ton sommeil. Quand l’un de ces cousins contrôleurs décide de suivre sa propre voie, tout est perturbé. D’où ces inexplicables sautes d’humeur, ces crises de larmes devant les publicités sur les chiots, ou cette soudaine obsession pour le paquet de chips familial à minuit.
Apprends à connaître ton équipe de micromanagers :
- Oestrogène – le multitâche qui régule non seulement ton système reproductif, mais aussi ton humeur, maintient la solidité de tes os et surveille ton cholestérol. Si ce cousin régulateur décide d’atteindre un pic ou de chuter, tu peux ressentir des sautes d’humeur, des bouffées de chaleur ou de la fatigue. Tant de responsabilités pour une si petite molécule !
- Progestérone – la collègue détendue des œstrogènes, qui t'empêche de t’évanouir pendant la phase prémenstruelle. Trop peu de ce régulateur de refroidissement ? Bonjour le monstre du syndrome prémenstruel : pleurer devant les films de chats, avoir des maux de tête qui éclatent et se sentir gonflée comme si tu avais avalé un ballon.
- Cortisol – l’hormone du stress qui est super différente à petite ou grande dose. Un peu t’aide à sortir du lit et à respecter les délais. Trop te rend anxieux, blasé et te donne envie de tous les biscuits du pot de biscuits et pas seulement d’un seul. Cette cousine de règle n’a pas pris de pilule pour enfants.
- L’insuline – le gardien de ta glycémie. Ce régulateur détermine si le sucre est utilisé comme énergie ou thésaurisé comme réserve de graisse. S’il devient paresseux, tu souffres de résistance à l’insuline, ce qui peut entraîner une prise de poids et de la fatigue. Parfois, ce cousin régulateur a besoin d’un coup de pouce.
- Les hormones thyroïdiennes – les gestionnaires de ton métabolisme. Trop lent ? Alors tu as toujours froid, tu as du mal à perdre du poids et tu te sens comme un escargot dans la mélasse. Trop rapide ? Alors tu cours comme un poulet sans tête, tu perds du poids sans essayer (ça a l’air bien, mais ça ne l’est pas) et ton cœur bat comme s’il était en voyage d’exploration personnelle et participait avec fanatisme à un cercle de tambours de pleine lune sur la plage.
Comme tu le vois : c’est tout un personnel de petits composés chimiques qui veulent tous que ton corps fonctionne bien.
L’approche holistique : plus qu’un simple soulagement des symptômes
L’équilibre hormonal nécessite une approche holistique. En effet, nos hormones réagissent de façon sensible aux différents facteurs de notre mode de vie. Plongeons-nous dans ce qui fonctionne vraiment :
1. La nutrition comme base
Une alimentation équilibrée riche en antioxydants, en graisses saines et en fibres constitue la base de la santé hormonale. Une récente méta-analyse publiée en 2022 a montré que les acides gras oméga-3 peuvent être efficaces pour réduire les symptômes du syndrome prémenstruel. L’étude a révélé que les suppléments d’oméga-3 peuvent réduire de manière significative les symptômes physiques et psychologiques, et que l’efficacité augmente avec la durée du traitement.
Conseil pratique :Remplis ton assiette pour moitié de légumes, pour un quart de glucides complexes (comme la patate douce ou le quinoa) et pour un quart de protéines. Ajoute des graisses saines comme l’avocat, l’huile d’olive ou les noix. Et fais attention à l’ordre dans lequel tu manges : d’abord les légumes, puis les protéines et seulement en dernier tes glucides. Pourquoi, et bien, c’est très simple : les fibres des légumes ralentissent la vidange gastrique et créent une couche visqueuse dans ton intestin grêle qui ralentit l’absorption du glucose. Ce principe scientifique, popularisé par la Déesse du glucose, a été démontré par des études : il peut faire baisser ton taux de sucre dans le sang jusqu’à 30 % et crée des niveaux d’hormones plus stables, notamment d’insuline !
2. Exercice – la bonne dose
« Pas de douleur, pas de gain » est un mythe lorsqu’il s’agit d’hormones. Les séances d’entraînement trop intenses peuvent augmenter le cortisol, l’hormone du stress, chez certaines femmes, ce qui peut aggraver le déséquilibre hormonal. En fait, le cortisol a un impact direct sur tes autres hormones – il peut supprimer tes hormones thyroïdiennes et interférer avec l’action de l’insuline.
Mais la relation entre l’intensité de l’exercice et la santé hormonale est complexe et – plus important encore – très personnelle.
Tu as peut-être entendu dire que les femmes en transition (bonjour, les 45 ans et plus !) ont tout intérêt à ne pas faire de cardio intense. Mais tu sais quoi ? Moi (51 ans), je cours régulièrement et je m’en porte très bien ! Pour moi, courir est un pur soulagement du stress – et cette relaxation mentale est au moins aussi importante pour mon équilibre hormonal que les aspects physiques.
En fin de compte, tout dépend de ce dont ton corps a besoin. Lorsque tu apprécies ton entraînement, ton corps produit des endorphines et le cortisol a moins tendance à prendre le contrôle. L’entraînement auquel tu t’accroches parce qu’il te donne de l’énergie est toujours meilleur que cet entraînement » parfaitement équilibré » que tu détestes en réalité.
Autre point important : la variété. Pour de nombreuses femmes, une combinaison de différentes formes de mouvements – vigoureux mais relaxants, intenses mais réparateurs – s’avère la plus efficace pour l’équilibre hormonal.
Conseil pratique : alterne les séances d’entraînement à haute intensité avec du yoga, de la marche ou de la natation. Écoute ton corps – surtout pendant les différentes phases de ton cycle.
3. La gestion du stress – ce qui change la donne
Le stress chronique est peut-être le plus grand saboteur de l’équilibre hormonal. Ton cortex surrénalien pompe le cortisol dans le sang, ce qui affecte directement ta thyroïde, tes hormones sexuelles et tes hormones de la faim.
Reconnaissable ? Lorsque je suis stressée, je ressens littéralement de l’agitation dans mon estomac. Et qu’est-ce que je fais alors ? C’est vrai, je grignote ! Ce bref moment de réconfort lorsque je mange quelque chose me calme temporairement. Mais ces petits grignotages constants perturbent encore plus mon équilibre insulinique, ce qui provoque de nouvelles fringales plus tard. C’est donc un cercle vicieux.
Sais-tu que l’agitation de ton estomac pendant le stress a une cause physiologique ? Le cortisol pousse ton corps à libérer du glucose (pour la réaction de lutte ou de fuite), ce qui fait fluctuer ton taux de sucre dans le sang. Ton corps pense : au secours, besoin d’énergie ! Et tu traduis cela par : hmm, il est temps de manger un biscuit !
En fait, le grignotage est une invention moderne. Nos ancêtres ne mangeaient pas tous les deux jours, et notre système digestif est conçu pour des pauses de 3 à 4 heures entre les repas. Ces collations entre les repas ? Une invention de l’industrie alimentaire conçue pour vendre plus, et non parce que ton corps en a besoin.
Conseil pratique : planifie une « mini-détox » quotidienne de 10 minutes : méditation, exercices de respiration ou simplement se déconnecter. Tes hormones te remercieront. Tu sens venir le déclencheur typique du stress ? Bois d’abord un grand verre d’eau et attends 10 minutes. Souvent, ce n’est pas la faim, mais simplement tes hormones de stress qui te jouent des tours.
4. Le sommeil – la panacée sous-estimée
Si tu as déjà passé une nuit blanche, tu connais les conséquences hormonales : faim, irritabilité et baisse d’énergie. Pendant le sommeil, ton corps récupère et équilibre des hormones cruciales comme la mélatonine, l’hormone de croissance et le cortisol.
C’est un sujet TELLEMENT personnel pour moi. Il y a trois ans, ma vie était constamment sous pression. Le résultat ? Des crises de panique nocturnes. Je restais éveillée pendant des heures, je m’inquiétais de tout et le lendemain, je me traînais dans la vie, surexcitée et sans vie (et avec 10 kilos en trop). Un cercle vicieux : plus je dormais mal, plus la situation s’aggravait. À un moment donné, j’ai commencé à stresser à l’idée même d’aller dormir – l’anxiété du sommeil, comme on l’appelle.
Savais-tu que le manque chronique de sommeil diminue ta leptine (l’hormone de la satiété) et augmente ta ghréline (l’hormone de la faim) ? Pas étonnant que j’aie pris du poids ! Un mauvais sommeil augmente également le taux de cortisol, ce qui entraîne à son tour une résistance à l’insuline. Ton équilibre hormonal est littéralement chamboulé.
Le retournement de situation ? J’ai commencé à enquêter sur les véritables sources de stress dans ma vie et j’ai cherché des alternatives. Le BSR (Body Stress Release) m’a énormément aidée – non seulement à réduire les tensions physiques, mais surtout à réapprendre à sentir ce que mon corps essayait réellement de me dire. J’ai appris à reconnaître mes limites avant de les franchir.
En outre, j’ai opéré un changement radical pour adopter un mode de vie sain sur tous les fronts dont nous parlons dans ce blog. Le sommeil n’est pas quelque chose d’isolé – il est lié à tout ce que tu fais pendant la journée, de ce que tu manges à la façon dont tu gères le stress.
Conseil pratique : crée une routine de relaxation sans écran, garde ta chambre fraîche (16-18°C) et essaie de te coucher à des heures fixes. Et peut-être le plus important : si tu remarques que tu es allongé en train de broyer du noir, lève-toi. Lis quelque chose de relaxant à la lumière tamisée. Ne retourne pas au lit tant que tu n’as pas sommeil. De cette façon, tu romps l’association entre ton lit et le stress.
5. Réduire l’exposition aux toxines
Nous vivons dans un monde où nous sommes exposés à des milliers de produits chimiques chaque jour – des plastiques dans les emballages aux pesticides sur nos légumes, et des conservateurs dans les produits de soins personnels aux retardateurs de flamme dans les meubles. Ces « perturbateurs endocriniens » peuvent imiter ou bloquer l’action de nos hormones naturelles.
Les microplastiques sont désormais partout : dans notre eau potable, dans l’air que nous respirons et même dans notre sang. Une personne moyenne ingère environ une carte de crédit en plastique par semaine – oui, tu as bien lu. Et bien que les scientifiques soient encore occupés à étudier les effets à long terme, une chose est claire : ces substances ne sont pas vraiment favorables à notre santé hormonale.
Il y a dix ans, j’ai décidé que je ne voulais pas rester impuissante. J’ai commencé par ce qui était en mon pouvoir : ma propre maison et mon propre corps. C’était le début de mon voyage vers une vie plus « propre », une chose à laquelle j’ai réfléchi récemment lorsque j’ai reçu mon « cadeau d’anniversaire des 10 ans » de doTERRA. En regardant des photos de moi de l’époque et d’aujourd’hui, la différence dans ma peau est frappante – plus brillante, moins d’inflammation, plus d’éclat.
Savais-tu que ta peau est ton plus grand organe de désintoxication ? Beaucoup de gens l’oublient, mais ta peau exhale littéralement des toxines. Si tu souffres d’acné, d’eczéma ou d’autres problèmes de peau, c’est peut-être le signe que tes organes de détoxification sont surchargés.
Mon approche ? Un plan en trois parties :
- Réduis ce qui entre: j’ai commencé à acheter de façon beaucoup plus consciente. Connais-tu « The Dirty Dozen » ? Il s’agit d’une liste mise à jour chaque année par l’Environmental Working Group des 12 fruits et légumes les plus arrosés de pesticides. Je les achète toujours de façon biologique (Google, c’est super pratique !) Je fais aussi attention aux produits de soins personnels, aux produits de nettoyage et à l’utilisation du plastique.
- Soutiens ce qui sort: Ton foie, tes reins, tes intestins, tes poumons et ta peau sont tes organes de désintoxication. Je les soutiens par une alimentation saine, une quantité suffisante d’eau (filtrée !), de l’exercice et, oui, aussi par un soutien spécifique à base de plantes.
- Équilibrer ce qui reste: Certaines expositions ne peuvent être évitées. C’est pourquoi je m’attache aussi à renforcer mon corps pour qu’il puisse mieux faire face à ces stress. Les plantes adaptogènes et les habitudes quotidiennes qui réduisent le stress y contribuent.
Conseil pratique : commence par de petites choses, mais de façon cohérente. Remplace chaque mois un produit conventionnel par une alternative naturelle. Filtre ton eau potable. Lis les étiquettes – si tu ne peux pas prononcer les ingrédients, ton corps ne voudra probablement pas les traiter non plus. Et n’oublie pas : la perfection n’est pas nécessaire, l’amélioration l’est.
Le pouvoir des huiles essentielles dans le soutien hormonal
En plus de ces ajustements de base du mode de vie, les huiles essentielles peuvent être un complément précieux. Elles fonctionnent de manière adaptogène – elles soutiennent le corps dans son autorégulation. Important à noter : elles ne peuvent pas corriger à elles seules un grave déséquilibre hormonal, mais fonctionnent mieux dans le cadre d’une approche complète.
Les huiles essentielles peuvent t’aider en :
– Modulant les réponses au stress
– Influençant les processus inflammatoires
– Soutenant les fonctions de désintoxication.
Des huiles spécifiques pour le soutien hormonal :
Pour l’équilibre de la progestérone :
– Le Vitex agnus-castus (poivre des moines) peut favoriser la production de progestérone (il est présent dans le lait de vache). Calme de sclarée)
– Le thym contient des composés qui peuvent soutenir les niveaux de progestérone
– Le bois de santal a également un effet équilibrant
Pour l’équilibre des œstrogènes :
– Le fenouil contient des phytoestrogènes ayant des actions similaires à celles des œstrogènes
– La sauge sclarée est efficace pour réguler les niveaux d’œstrogènes
– Le géranium peut aider à réguler les niveaux d’œstrogènes
Soutien général :
– Les huiles d’orange sauvage et d’agrumes favorisent la désintoxication du foie, cruciale pour l’équilibre hormonal.
– La lavande aide à lutter contre les perturbations hormonales liées au stress
– L’ylang-ylang a un effet équilibrant sur le système hormonal
Conseils d’utilisation :
– L’application via la plante des pieds et le bas-ventre peut être particulièrement efficace
– Une utilisation régulière (quotidienne ou adaptée à ton cycle menstruel) donne de meilleurs résultats qu’une utilisation occasionnelle
– Un test sanguin avant et après l’utilisation peut aider à contrôler l’efficacité.
Le pouvoir d’une approche intégrée
Dans ma propre vie comme dans ma pratique, je le constate encore et encore : une approche holistique de la santé hormonale donne tout simplement les meilleurs résultats. Les femmes que je conseille commencent souvent par un aspect (généralement la nutrition ou les suppléments), mais c’est toujours la combinaison de plusieurs facteurs liés au mode de vie qui crée les plus grandes avancées.
C’est logique quand on y pense. Tes hormones forment un grand système interconnecté. Tu ne peux pas tirer sur un fil sans que le reste bouge avec lui. C’est pourquoi une approche qui s’attaque à plusieurs aspects à la fois donne de bien meilleurs résultats – ils se renforcent mutuellement.
Ce que je facilite dans ma pratique, c’est une évaluation approfondie de tous les facteurs liés au mode de vie, suivie d’un plan ciblé que nous élaborons sur plusieurs mois. Pas de régimes d’urgence ou de solutions rapides, mais des changements durables qui profitent vraiment à ton corps.
Et tu sais ce que je préfère ? La connexion qui se crée. Je guide mes clients avec passion et si tout se passe bien, nous restons en contact pour le reste de notre vie. Ensemble, nous construisons une merveilleuse communauté d’âmes partageant les mêmes idées, qui se soutiennent et s’inspirent mutuellement (GOOD. – trouvé gratuitement sur Telegram, vas-tu t’y joindre ? Envoie-moi un message !).
Parce qu’il faut se rendre à l’évidence : équilibrer ses hormones n’est pas l’affaire d’un seul homme. C’est tellement plus facile et plus amusant quand tu le fais ensemble, avec des conseils et une communauté qui te comprend et t’encourage.
La magie opère lorsque ces facteurs sont réunis : une meilleure alimentation, la réduction du stress, suffisamment de sommeil, moins d’exposition aux toxines, ainsi qu’un soutien avec des produits naturels et une communauté avec des gens sympas. C’est comme une bonne équipe – chacun apporte ses propres forces et, ensemble, vous obtenez des résultats qui seraient impossibles à atteindre seul.
Ce ne sont pas des conneries, c’est juste la façon dont ton corps fonctionne.
Enfin : prêt, prêt, partez !
Regardons les choses en face : les hormones peuvent parfois être de véritables trouble-fêtes. Elles arrivent à l’improviste, s'emparent de tout le réfrigérateur et te laissent pleurer devant une vidéo de chat. Mais au moins, tu as maintenant un plan d’action !
Rome ne s’est pas construite en un jour non plus, et ton équilibre hormonal ne se rétablit pas du jour au lendemain. Mais chaque étape compte : ce légume supplémentaire dans ton assiette, ces dix minutes de méditation (ou simplement de respiration sans ton téléphone), cette heure de coucher plus tôt. Ce sont toutes de petites victoires dans le jeu du « patron de ton propre corps ».
Qu’est-ce que je vais faire ensuite ? Je mets mes chaussures de course, je jette quelques épinards dans mon smoothie et je règle mon téléphone sur « ne pas déranger ». Parce qu’il faut mettre en pratique ce que l’on prêche, n’est-ce pas ? Et peut-être, juste peut-être, je vais échanger ce morceau de chocolat contre une poignée de noix ce soir. Ou bien . Eh bien, restons-en aux trois premières pour aujourd’hui. Petits pas !
Mettons-nous d’accord : tu essaies une chose de ce blog cette semaine, et moi…. Eh bien, je suis déjà en route pour mon tour de course à pied. Dooooooeeeeeei !
Avis de non-responsabilité : ce blog a une vocation informative et ne remplace pas l’avis d’un professionnel de la santé. Si les symptômes persistent, consulte toujours un médecin ou un spécialiste.